C’est la première fois que Christofle propose une collection de luminaires et c’est autour des arabesques du « Jardin d’Eden » de Marcel Wanders qu’elle la compose.
C’est rue Royale, chez Christofle, que j’ai rencontré le designer Marcel Wanders en janvier pour découvrir la suite de la collection « Jardin d’Eden », principalement inspirée des candélabres de leur collaboration, débutée en 2010, qui sort ce mois-ci. Des lustres, des lampes à poser, des lampadaires et des photophores la composent : s’exprime ici, à travers des pièces néo-classiques, le style baroque de Marcel et l’expertise de la maison Christofle.
Sur les socles en métal nickelé argenté réalisés à la main dans leurs ateliers de haute-orfèvrerie ou en acier gravé : un éclairage tamisé par des abat-jours en cristal, « taillé à la main et soufflé à la bouche, de couleur fumé ou clair ». Une combinaison majestueuse, qui prend tout son sens grâce à deux modèles d’exception : au sol, une lampe d’1,80 mètre de hauteur, dans les airs, un lustre suspendu. Outre la lampe à poser, inspirée de la forme du flambeau présent dans la première collection « Jardin d’Eden », c’est le bougeoir qui éveille ma curiosité : une version miniature des volutes gravées dans l’acier, cadeau délicat pour mettre un pied dans ce jardin d’Eden.
> "Jardin d'Eden" chez Christofle, disponible en mai 2017